#Droit à la terre
#Droit à la terre
Les défenseurs des droits humains qui protègent les droits à la terre de leurs communautés, et qui sont souvent eux-mêmes des leaders autochtones, se heurtent aux menaces d'organismes gouvernementaux, non-gouvernementaux et industriels, sous la forme de diffamation, d'agressions physiques, d'acharnement judiciaire et de meurtres.
Les conventions et lois internationales qui affirment les droits des peuples autochtones à la terre sont nombreux, parmi lesquels la Convention sur l'élimination de toute forme de discrimination raciste, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, la Convention 169 de l'OIT sur les peuples autochtones ou tribaux, la Déclaration sur les droits des peuples autochtones et la Convention américaine relative aux droits de l'Homme.
Le droit à la terre, souvent lié aux droits des peuples autochtones, est le droit des individus et communautés à la terre. Il est essentiel à d'autres droits, dont l'auto-détermination, la liberté de culte, les droits économiques, sociaux et culturels. Outre l'importance de la terre dans l'identité d'une communauté, de nombreuses populations autochtones dépendent des ressources naturelles de leur terre pour leur survie.