Début 2011, la levée de l’état d’urgence en vigueur depuis 19 ans en Algérie n’a pas eu d’effet positif sur la situation des défenseur-ses des droits humains (DDH). Les défenseur-ses des droits humains continuent d’être victimes de harcèlement, menaces, agressions physiques, détentions et poursuites judiciaires arbitraires.