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Antécédents de l'affaire: Hossameldin Ali

Statut: 
Abandon des charges
À propos de la situation

Le 30 août, le juge d’instruction nommé par la Cour d’appel du Caire pour enquêter sur l’affaire 173 de 2011 (connue sous le nom d’affaire de financement étranger) a décidé d’abandonner l’affaire contre les défenseur-ses des droits humains  Azza Soliman, Negad El Borei, Magdi Abdel Hameed et Hossameldin Ali et leurs ONG de défense des droits humains.  

Le 7 juin 2018, le juge d'instruction de l'affaire 173 (appelée affaire du financement étranger des ONG) a ordonné la libération sous caution de Hossameldin Ali, pour un montant de 20000 livres égyptiennes.

Le 27 février 2016, les autorités égyptiennes ont empêché le défenseur des droits humains M. Hossameldin Ali d'embarquer à bord d'un vol pour les États-Unis, et l'ont informé qu'il est sous le coup d'une interdiction de voyager.

À propos d'Hossameldin Ali

Hossameldin Ali Hossameldin Ali est défenseur des droits humains et président de l'Egyptian Democratic Academy, une organisation à but non lucratif créée par un groupe de militants qui œuvrent pour la démocratie, les droits humains et la participation politique en Égypte.

6 Septembre 2021
Abandon de l'affaire intentée contre quatre défenseur-ses des droits humains et leurs ONG

Le 30 août, le juge dinstruction nommé par la Cour dappel du Caire pour enquêter sur laffaire 173 de 2011 (connue sous le nom daffaire de financement étranger) a décidé dabandonner laffaire contre les défenseur-ses des droits humains  Azza Soliman, Negad El Borei, Magdi Abdel Hameed et Hossameldin Ali et leurs ONG de défense des droits humains.  La décision garantit que les défenseur-ses des droits des droits humains seront acquittés de toutes les charges. Cependant, il y a d'autre procédures juridiques à suivre afin de retirer leurs noms des listes dinterdiction de voyager et pour lever le gel des avoirs personnels et institutionnels.

1 Mars 2016
Le défenseur des droits Hossameldin Ali sous le coup d'une interdiction de voyager

Mise à jour: Le 7 juin 2018, le juge d'instruction de l'affaire 173 (appelée affaire du financement étranger des ONG) a ordonné la libération sous caution de Hossameldin Ali, pour un montant de 20000 livres égyptiennes.

Le 27 février 2016, les autorités égyptiennes ont empêché le défenseur des droits humains M. Hossameldin Ali d'embarquer à bord d'un vol pour les États-Unis, et l'ont informé qu'il est sous le coup d'une interdiction de voyager.

Le défenseur a été informé qu'il est placé sous le coup d'une interdiction de voyager à son arrivée à l'aéroport international du Caire. Il devait se rendre à une conférence internationale sur la lutte contre la corruption grâce à la loi, organisée par le Département d'État américain. Après avoir été informé qu'il ne serait pas autorisé à voyager, il a été interrogé par téléphone par un officier de la sécurité nationale pendant trois heures. Pendant l'interrogatoire, Hossameldin Ali a été interrogé à propos de l'Egyptian Democratic Academy et des financements étrangers, des activités de l'organisation, de son rôle au sein du conseil d'administration, des détails et des raisons de son voyage aux États-Unis, ainsi que sur les personnes qu'il devait rencontrer pendant son voyage.

Hossameldin Ali a déjà été interdit de voyager en décembre 2014, dans le cadre d'une enquête judiciaire lancée en 2011 sur des fonds étrangers reçus par les organisations de défense des droits humains en Égypte. Ce refus de permettre à Hossameldin Ali de voyager est le dernier exemple d'une série d'interdictions de voyager ciblant les défenseur-ses des droits humains en Égypte, notamment Mme Esraa Abdel Fattah, et messieurs Ahmed Ghonim et Bassem Samir, tout deux membres de l'Egyptian Democratic Academy.