Back to top
africog.jpg

The African Centre for Open Governance – AfriCOG

L'African Centre for Open Governance – AfriCOG plaide pour la bonne gouvernance et pour une application totale de la constitution de 2010 et des mesures contre la corruption.

Tandis que le Kenya donne l'apparence d'un pays où l'espace public est ouvert, des catégories spécifiques de défenseur-ses des droits humains font face à de nombreux risques à cause de leur travail. Cela inclut des défenseur-ses des droits humains et journalistes qui travaillent sur les questions sensibles de corruption, ceux qui documentent ou contribuent aux témoignages sur les violences passées (y compris les violences post-électorales de 2007/2008 et les exécutions extrajudiciaires fréquemment perpétrées par la police), ainsi que ceux-celles qui utilisent les manifestations pacifiques comme moyen de plaidoyer.

Les défenseur-ses des droits humains qui dénoncent les violations des droits humains perpétrées par les forces de police sont constamment exposés à des représailles. Les membres d'organisations de la société civile sont régulièrement arrêtés et victimes de mauvais traitements en prison, reçoivent des appels anonymes menaçants et certains sont jugés pour "appartenance à une organisation illégale" et "participation à des manifestations illégales".