Human rights defenders in India face a diverse range of attacks and harassment from state and non-state actors alike, including killing, physical assault, arbitrary detention, threats and judicial harassment. Police officials are often the perpetrators of violence against HRDs, which is usually carried out with impunity. Armed groups and private companies also target HRDs for work related to economic development projects and their impact on the local communities orLes défenseurs-ses des droits humains en Inde sont confrontés à diverses formes d'attaques et de harcèlement de la part d'acteurs étatiques et non étatiques, y compris des meurtres, des agressions physiques, des détentions arbitraires, des menaces et l'acharnement judiciaire. Les policiers sont souvent les principaux coupables des violences contre les DDH, qui sont généralement perpétrées en toute impunité. Les groupes armés et les entreprises privées s'en prennent aussi aux DDH à cause de leur travail lié à des projets de développement économique et à l'impact de ces derniers sur les communautés locales et l'environnement. Les DDH sont de plus en plus souvent la cible de campagnes de diffamation en ligne orchestrées par des nationalistes radicaux.
Les DDH qui utilisent la loi sur le droit à l'information (RTI) risquent d'être tués, agressés ou harcelés lorsqu'ils exercent leur droit fondamental à réclamer et recevoir des informations de la part des autorités. Les femmes DDH sont la cible de menaces sexospécifiques - mort, viol collectif ou attaque à l'acide - à la fois sur internet et sur le terrain. Elles sont particulièrement vulnérables dans les régions comptant une forte présence militaire et de groupes armés the environment. HRDs are increasingly the targets of online smear campaigns by radical nationalists.
HRDs making use of the Right to Information (RTI) Act are liable to be killed, assaulted or harassed for exercising their fundamental right to demand and receive information from public authorities. Women HRDs are targeted with gender-specific threats – death, gang rape or acid attacks – both online and offline. They are particularly vulnerable in regions with a heavy presence of the military and armed groups.