Slimane Bouhafs: Condamnation réduite en appel
Le 6 Septembre 2016, la Cour d'Appel de Sétif a réduit la peine initiale prononcée contre le défenseur des droits humains M. Slimane Bouhafs, de cinq ans d'emprisonnement à trois ans. Les avocats de Bouhafs envisageraient d'interjeter appel devant la Cour Suprême afin de casser la condamnation. Il a été arrêté le 31 Juillet 2016 sur des accusations liées à l'expression de ses convictions chrétiennes, d'outrage à la religion de l'État et au prophète sur les réseaux sociaux. Il est actuellement détenu à la prison de Sétif.
Slimane Bouhafs est un défenseur des droits humains algérien plaidant pour la liberté d'expression et de la démocratie en Algérie à travers les médias sociaux. Il est aussi le président de la Coordination St. Augustine des Chrétiens en Algérie qui défend les droits des minorités et la liberté de religion dans le pays.
Le 6 Septembre 2016, la Cour d'Appel de Sétif a réduit la peine initiale prononcée contre le défenseur des droits humains M. Slimane Bouhafs de cinq ans d'emprisonnement à trois ans. Les avocats de Bouhafs envisageraient d'interjeter appel devant la Cour Suprême afin de casser la condamnation. Il a été arrêté le 31 Juillet 2016 sur des accusations liées à l'expression de ses convictions chrétiennes, d'outrage à la religion de l'État et au prophète sur les médias sociaux. Il est actuellement détenu à la prison de Sétif.
Slimane Bouhafs est un défenseur des droits humains algérien plaidant pour la liberté d'expression et de la démocratie en Algérie à travers les médias sociaux. Il est aussi le président de la Coordination St. Augustine des Chrétiens en Algérie qui défend les droits des minorités et la liberté de religion dans le pays.
Le 7 Août 2016, le Tribunal de Première Instance d'Ath Warthilane (Beni Ourtilane) à Sétif a condamné Slimane Bouhafs à la peine d'emprisonnement maximale de cinq ans et une amende de 100 000 DA (€ 820,00). Son état de santé s'est gravement détérioré en raison d'une condition médicale latente depuis son arrestation.
Front Line Defenders condamne fermement la condamnation en appel de Slimane Bouhafs et estime que les procédures en cours contre lui sont uniquement motivées par son travail pacifique pour la promotion et la protection de la liberté de conscience en Algérie.
Le 7 Août 2016, le Tribunal de Première Instance d'Ath Warthilane (Beni Ourtilane) à Sétif a condamné le défenseur des droits humains M. Slimane Bouhafs à la peine d'emprisonnement maximale de cinq ans et une amende de 100 000 DA (€ 820,00) sur des accusations d'outrage à la religion de l'État et au prophète. Il est en détention à la prison de Sétif depuis son arrestation le 31 Juillet 2016.
Slimane Bouhafs est un défenseur des droits humains algérien plaidant pour la liberté d'expression et de la démocratie en Algérie à travers les médias sociaux. Il est aussi le président de la Coordination St. Augustine des Chrétiens en Algérie qui défend les droits des minorités et la liberté de religion dans le pays.
Le 7 Août 2016, Slimane Bouhafs a reçu une peine d'emprisonnement de cinq ans et d'une amende par le Tribunal de Première Instance d'Ath Warthilane. Il a été reconnu coupable, en vertu de l'article 144 bis 2 du Code pénal algérien, d'insulte à la religion de l'État et au prophète sur les médias sociaux, qui est une accusation passible d'un maximum de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de 50.000 DA à 100.000 DA ( 410.00 € - € 820,00). Sa peine représente la peine maximale pour la charge. Slimane Bouhafs prévoit de faire appel à la condamnation.
Il a été arrêté le 31 Juillet 2016 près de sa maison à Bouandes par les autorités algériennes et amené devant le parquet sans avoir accès à un avocat. Il a été placé en détention dans la prison de Sétif où il a commencé une grève de faim pour protester contre sa détention arbitraire. Son état de santé s'est gravement détérioré en raison d'une condition médicale latente.
Front Line Defenders condamne fermement la condamnation lourde de Slimane Bouhafs et estime que les procédures en cours contre lui sont uniquement motivées par son activité pacifique pour la promotion et la protection de la liberté de conscience en Algérie.
Front Line Defenders exhorte les autorités algériennes à:
1. Procéder à la libération immédiate de Slimane Bouhafs et annuler la sentence prononcée contre lui;
2. Garantir en toutes circonstances que tous les défenseurs des droits humains en Algérie sont en mesure de mener à bien leurs activités légitimes de défense des droits humains, à l'échelle nationale et internationale, sans crainte de représailles et libre de toutes restrictions, y compris le harcèlement judiciaire.