Libération provisoire du défenseur des droits humains Pape Alé Niang
Le 14 décembre 2022, le défenseur des droits humains Pape Alé Niang a été libéré provisoirement de prison après plus d'un mois de détention sans procès. Le défenseur des droits humains a été placé sous contrôle judiciaire, assorti d’une obligation de se présenter devant le juge une fois par mois, avec interdiction de quitter le territoire. Les accusations portées contre lui sont toujours pendantes.
Le 2 décembre 2022, le défenseur des droits humains Pape Alé Niang a entamé une grève de la faim pour dénoncer son arrestation et sa détention arbitraires à la prison de Sebikotane. Le 9 novembre 2022, le défenseur des droits humains a été inculpé de "divulgation d'informations susceptibles de nuire à la Défense nationale", "recel de documents administratifs et militaires" et "diffusion de fausses nouvelles susceptibles de discréditer les institutions publiques". Le 6 novembre 2022, Pape Alé Niang a été arbitrairement arrêté pour la publication d'un article sur les poursuites judiciaires contre le principal leader de l'opposition.
Pape Alé Niang est défenseur des droits humains et journaliste d'investigation. Le défenseur des droits humains est également directeur du site d'information Dakar Matin, et est connu pour ses articles réguliers sur l'actualité sénégalaise.
Le 14 décembre 2022, le défenseur des droits humains Pape Alé Niang a été libéré provisoirement de prison après plus d'un mois de détention sans procès. Le défenseur des droits humains a été placé sous contrôle judiciaire, assorti d’une obligation de se présenter devant le juge une fois par mois, avec interdiction de quitter le territoire. Les accusations portées contre lui sont toujours pendantes.
Pape Alé Niang est défenseur des droits humains et journaliste d'investigation. Il est également directeur du site d'information Dakar Matin. Le défenseur des droits humains est connu pour ses articles réguliers sur l'actualité sénégalaise.
Le 6 novembre 2022, le défenseur des droits humains Pape Alé Niang a été arbitrairement arrêté et détenu dans les locaux des services de la Sécurité urbaine à Dakar, avant d'être transféré à la prison de Sebikotane, située à 41 km de Dakar, où il a été arbitrairement détenu.
Le 9 novembre 2022, le défenseur des droits humains a été inculpé de "divulgation d'informations susceptibles de nuire à la Défense nationale", "recel de documents administratifs et militaires" et "diffusion de fausses nouvelles susceptibles de discréditer les institutions publiques", suite à la publication du journaliste sur son site, concernant l'accusation de viol contre le principal opposant sénégalais Ousmane Sonko.
Le 14 décembre 2022, le défenseur des droits humains Pape Alé Niang a été libéré provisoirement de prison après plus d'un mois de détention sans procès. Le défenseur des droits humains a été placé sous contrôle judiciaire, assorti d’une obligation de se présenter devant le juge une fois par mois, avec interdiction de quitter le territoire. Les accusations portées contre lui sont toujours pendantes. Pape Alé Niang était en grève de la faim depuis le 2 décembre 2022, date à laquelle il a également annoncé qu'il refuserait les soins médicaux des services médicaux de la prison.
Front Line Defenders salue la libération du défenseur des droits humains et journaliste Pape Ale Niang mais est sérieusement préoccupée par la détérioration de l'espace civique au Sénégal, en particulier la liberté de la presse. L'organisation exhorte les autorités à abandonner toutes les charges retenues contre Pape Alé Niang, car elle est convaincue qu'il est pris pour cible uniquement en raison de son travail en faveur des droits humains.
Le 2 décembre 2022, le défenseur des droits humains Pape Alé Niang a entamé une grève de la faim pour dénoncer son arrestation et sa détention arbitraires à la prison de Sebikotane. Le 9 novembre 2022, le défenseur des droits humains a été inculpé de "divulgation d'informations susceptibles de nuire à la Défense nationale", "recel de documents administratifs et militaires" et "diffusion de fausses nouvelles susceptibles de discréditer les institutions publiques". Le 6 novembre 2022, Pape Alé Niang a été arbitrairement arrêté pour la publication d'un article sur les poursuites judiciaires contre le principal leader de l'opposition.
Pape Alé Niang est défenseur des droits humains et journaliste d'investigation. Le défenseur des droits humains est également directeur du site d'information Dakar Matin, et est connu pour ses articles réguliers sur l'actualité sénégalaise dénonçant la corruption, la mauvaise gouvernance et défendant les droits civils et politiques.
Le 2 décembre 2022, le défenseur des droits humains Pape Alé Niang a entamé une grève de la faim, jusqu'à nouvel ordre, pour dénoncer son arrestation et sa détention arbitraires à la prison de Sebikotane. Le défenseur des droits humains a également annoncé qu'il refuserait tout soin médical des services médicaux de la prison.
Le 9 novembre 2022, le défenseur des droits humains a été inculpé par le procureur de "divulgation d'informations susceptibles de nuire à la Défense nationale", "recel de documents administratifs et militaires" et "diffusion de fausses nouvelles susceptibles de discréditer les institutions publiques". L'arrestation serait liée à la publication du défenseur des droits humains sur l'accusation de viol contre le principal opposant sénégalais Ousmane Sonko. Aucune date de procès n'a été prévue. Le 6 novembre 2022, le défenseur des droits humains a été arbitrairement arrêté et détenu dans les locaux des services de la sécurité urbaine à Dakar. Pape Alé Niang a ensuite été transféré le lendemain à la prison de Sebikotane, située à 41 km de Dakar, où il est toujours détenu.
Front Line Defenders est sérieusement préoccupée par la détérioration de l'espace civique au Sénégal, en particulier la liberté de la presse. Front Line Defenders condamne fermement la détention de Pape Alé Niang et les accusations portées contre lui, car l’organisation est fermement convaincu qu'il est pris pour cible uniquement en raison de son travail en faveur des droits humains.