Kaddour Chouicha emprisonné
Le 3 mars 2020, la cour pénale d'Oran a acquitté le défenseur des droits humains Kaddour Chouicha. Il était placé en libération conditionnelle depuis le 7 janvier 2020, après 28 jours de détention.
Le 18 février 2020, lors d'une audience à huis clos, les avocats de la défense de Kaddour Chouicha ont présenté leurs arguments devant le tribunal correctionnel d'Oran. La Cour a reporté au 3 mars 2020 le verdict de l'appel interjeté par le défenseur des droits humains.
Le 28 janvier 2020, le tribunal correctionnel d'Oran a reporté l'audience d'appel du défenseur des droits humains Kaddour Chouicha au 18 février 2020.
Le 7 janvier 2020, Kaddour Chouicha a été placé en liberté conditionnelle après que le tribunal d’Oran a accepté la demande de son avocat de le libérer en raison de son état de santé. La cour doit revoir son affaire le 28 janvier 2020.
Le 10 décembre 2019, le tribunal correctionnel d'Oran a condamné le défenseur des droits humains Kaddour Chouicha à un an de prison et à une amende de 20 000 dinars algériens (150 euros) pour avoir participé à des manifestations pacifiques.
Kaddour Chouicha est défenseur des droits humains et professeur d'université. Il est vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH), et il est président de la Ligue à Oran, qui se concentre sur la promotion des droits politiques et civils en Algérie.
Le 3 mars 2020, la cour pénale d'Oran a acquitté le défenseur des droits humains Kaddour Chouicha. Il était placé en libération conditionnelle depuis le 7 janvier 2020, après 28 jours de détention.
Le 18 février 2020, lors d'une audience à huis clos, les avocats de la défense de Kaddour Chouicha ont présenté leurs arguments devant le tribunal correctionnel d'Oran. La Cour a reporté au 3 mars 2020 le verdict de l'appel interjeté par le défenseur des droits humains.
Mise à jour - Le 28 janvier 2020, le tribunal correctionnel d'Oran a reporté l'audience d'appel du défenseur des droits humains Kaddour Chouicha au 18 février 2020.
Le 7 janvier 2020, Kaddour Chouicha a été placé en liberté conditionnelle après que le tribunal d’Oran a accepté la demande de son avocat de le libérer en raison de son état de santé. La cour doit revoir son affaire le 28 janvier 2020.
Le 10 décembre 2019, le tribunal correctionnel d'Oran a condamné le défenseur des droits humains Kaddour Chouicha à un an de prison et à une amende de 20 000 dinars algériens (150 euros) pour avoir participé à des manifestations pacifiques.
Kaddour Chouicha est défenseur des droits humains et professeur d'université. Il est vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH), et il est président de la Ligue à Oran, qui se concentre sur la promotion des droits politiques et civils en Algérie.
Dans la matinée du 10 décembre 2019, Kaddour Chouicha est entré dans un poste de police local à Oran, après qu'on lui a demandé de récupérer son téléphone portable qui avait été confisqué par la police fin octobre 2019, alors qu'il participait à une manifestation pacifique. Au lieu de récupérer son téléphone, il a été arrêté et interrogé par la police. Le défenseur des droits humains n'a pas été autorisé à ce que son avocat assiste à l'interrogatoire et son nouveau téléphone portable a également été confisqué.
Au bout de quelques heures, il a été transféré au tribunal correctionnel d'Oran, où il a comparu immédiatement. Ses avocats n'ont pas été autorisés à enter dans la pièce. Une deuxième audience s'est tenue le même jour après que les avocats se sont plaints d'avoir été bannis de la première. Le tribunal l'a reconnu coupable de plusieurs charges, notamment de "menace à la sécurité nationale", "incitation" et "manifestation illégale et désobéissance", et il a été condamné à un an de prison et à une amende de 20 000 dinars algériens (150 euros). Kaddour Chouicha souffre de maladies chroniques qui nécessitent un traitement médical spécialisé que la prison n'offre pas.
Kaddour Chouicha a été harcelé à plusieurs reprises par les autorités algériennes : il est sous surveillance policière à cause de son travail en faveur des droits humains et il a été détenu pendant près de 24 heures le 24 octobre 2019 en raison de sa participation à une manifestation pacifique à Oran. Les membres de sa famille sont également harcelés ; son fils a été détenu pendant trois heures le 10 décembre 2019.
Front Line Defenders est profondément préoccupée par la condamnation du défenseur des droits humains Kaddour Chouicha. Front Line Defenders pense qu'il est ciblé uniquement en raison de ses activités pacifiques et légitimes en faveur des droits humains.