Mohammad Habibi commence à purger sa peine de six mois de prison
Le 11 novembre 2024, le défenseur des droits humains Mohammad Habibi a commencé à purger sa peine de six mois d’emprisonnement à la prison d’Evin.
Le 21 juillet 2024, le défenseur des droits humains Mohammad Habibi a été condamné à six mois et un jour de prison pour « rassemblement et collusion contre la sécurité nationale et extérieure » par la branche 2 du tribunal révolutionnaire de Shahryar.
Le 10 janvier 2024, l’avocat de Mohammad Habibi a annoncé que le défenseur des droits humains avait été inculpé par le tribunal révolutionnaire de Shahryar pour « rassemblement et collusion contre la sécurité nationale » après avoir publié des messages sur X, anciennement Twitter, pour protester contre l’empoisonnement d’écoliers en Iran.
Mohammad Habibi est défenseur des droits humains ; il est porte-parole et membre du conseil d’administration du Syndicat des enseignants de Téhéran. Le défenseur des droits humains a été arrêté et condamné à plusieurs reprises pour ses activités syndicales et en faveur des droits humains depuis 2018. En outre, il a été licencié de son poste d’enseignant en raison de sa campagne en faveur des droits des enseignants et des enfants, et de son rôle actif au sein du Coordinating Council of the Iranian Teachers’ Trade Associations (CCITTA).
Le 11 novembre 2024, le défenseur des droits humains Mohammad Habibi a commencé à purger sa peine de six mois d’emprisonnement à la prison d’Evin. Le défenseur des droits humains, qui a été emprisonné à plusieurs reprises depuis 2018 pour ses activités syndicales et de défense des droits humains, a été condamné le 21 juillet 2024 par la branche II du tribunal révolutionnaire de Shahryar à six mois et un jour d’emprisonnement pour « rassemblement et collusion contre la sécurité nationale et extérieure ». Les preuves fournies pour cette accusation comprennent des messages publiés sur les réseaux sociaux par le défenseur des droits humains pour protester contre la série d’empoisonnements d’écolières dans le contexte des manifestations « Femme, vie, liberté ». En 2023, le défenseur a été licencié de son poste d’enseignant en raison de ses actions continues en faveur du droit à l’éducation et de ses activités syndicales pour les enseignants.
Le 21 juillet 2024, le défenseur des droits humains Mohammad Habibi a été condamné à six mois et un jour de prison pour « rassemblement et collusion contre la sécurité nationale et extérieure » par la branche 2 du tribunal révolutionnaire de Shahryar.
Mohammad Habibi est défenseur des droits humains ; il est porte-parole et membre du conseil d’administration du Syndicat des enseignants de Téhéran. Le défenseur des droits humains a été arrêté et condamné à plusieurs reprises pour ses activités syndicales et en faveur des droits humains depuis 2018. En outre, il a été licencié de son poste d’enseignant en raison de sa campagne en faveur des droits des enseignants et des enfants et de son rôle actif au sein du Conseil de coordination des associations professionnelles d’enseignants iraniens (CCITTA).
Le 21 juillet 2024, le défenseur des droits humains Mohammad Habibi a été condamné à six mois et un jour de prison pour « rassemblement et collusion contre la sécurité nationale et extérieure » par la branche II du tribunal révolutionnaire de Shahryar. L’accusation se base sur des messages publiés sur les réseaux sociaux par le défenseur des droits humains pour protester contre la série d’empoisonnements d’écolières survenus dans le cadre des manifestations « femme, vie, liberté ».
Le 10 janvier 2024, l’avocat de Mohammad Habibi a annoncé que le défenseur des droits humains avait été inculpé par le tribunal révolutionnaire de Shahryar pour « rassemblement et collusion contre la sécurité nationale » après avoir publié des messages sur X, anciennement Twitter, pour dénoncer l’empoisonnement d’écolières en Iran. Mohammad Habibi a été arrêté le 5 avril 2023 dans le cadre des manifestations contre les empoisonnements d’élèves.
En avril et mai 2023, des manifestations pacifiques ont eu lieu pour protester contre une série d’empoisonnements d’écolières dans tout le pays. Ces empoisonnements seraient des représailles contre les femmes et les jeunes filles qui revendiquent leur droit de ne pas se conformer aux règles discriminatoires de l’Iran en matière de port du voile et de participer à des manifestations. En raison de leur participation aux manifestations « Femme, vie, liberté » et de leur engagement dans des manifestations pacifiques contre cette campagne d’empoisonnement, de nombreux professeurs d’université, enseignants, défenseur·ses des droits des étudiants et syndicalistes ont été pris pour cible par les autorités iraniennes.
Après son arrestation le 5 avril 2023, Mohammad Habibi a été agressé et a ensuite déposé une plainte contre les agents de sécurité qui seraient impliqués dans l’agression. Le 21 mai 2023, le défenseur des droits humains a été libéré après avoir payé une caution d’un milliard d’IRR après 47 jours de détention arbitraire et au terme d’une audience portant sur l’accusation de « rassemblement et collusion pour agir contre la sécurité nationale » devant la branche 2 du tribunal révolutionnaire de Shahryar. Le défenseur et son avocat ont ensuite été informés du rejet de l’action en justice en raison de l’usage de la force par les agents de sécurité, qui ont prétendu à tort que Mohammad Habibi avait eu l’intention de s’enfuir de la voiture des agents de sécurité lors de l’arrestation.
Front Line Defenders est sérieusement préoccupée par les poursuites continues contre le défenseur des droits humains Mohmmad Habibi et par les agressions physiques qu’il subit en raison de son travail légitime en faveur des droits des étudiants et des enseignants en Iran. Front Line Defenders demande instamment aux autorités iraniennes d’abandonner la nouvelle condamnation de Mohammad Habibi et de mener une enquête impartiale sur les allégations d’agressions physiques à son encontre, afin de publier les résultats et de demander des comptes aux responsables.
Le 10 janvier 2024, l’avocat de Mohammad Habibi a annoncé que le défenseur des droits humains avait été inculpé par le tribunal révolutionnaire de Shahryar pour « rassemblement et collusion contre la sécurité nationale » après avoir publié des messages sur X, anciennement Twitter, pour protester contre l’empoisonnement d’écoliers en Iran.
Mohammad Habibi est défenseur des droits humains ; il est porte-parole et membre du conseil d’administration du Syndicat des enseignants de Téhéran. Le défenseur des droits humains a été arrêté et condamné à plusieurs reprises pour ses activités syndicales et en faveur des droits humains depuis 2018. En outre, il a été licencié de son poste d’enseignant en raison de sa campagne en faveur des droits des enseignants et des enfants, et de son rôle actif au sein du Coordinating Council of the Iranian Teachers’ Trade Associations (CCITTA).
Le 10 janvier 2024, l’avocat de Mohammad Habibi a annoncé que le défenseur des droits humains avait été inculpé par le tribunal révolutionnaire de Shahryar pour « rassemblement et collusion contre la sécurité nationale » après avoir publié des messages sur X, anciennement Twitter, pour dénoncer l’empoisonnement d’écoliers en Iran. Mohammad Habibi a été arrêté le 5 avril 2023 dans le cadre des manifestations contre les empoisonnements d’élèves.
En avril et mai 2023, des manifestations pacifiques ont eu lieu pour protester contre une série d’empoisonnements d’écolières dans tout le pays. Ces empoisonnements seraient des représailles contre les femmes et les jeunes filles qui revendiquent leur droit de ne pas se conformer aux règles discriminatoires de l’Iran en matière de port du voile, et de participer à des manifestations. En raison de leur participation aux manifestations « Femme, vie, liberté » et de leur engagement dans des manifestations pacifiques contre cette campagne d’empoisonnement, de nombreux professeurs d’université, enseignants, défenseur·ses des droits des étudiants et syndicalistes ont été pris pour cible par les autorités iraniennes.
Après son arrestation le 5 avril 2023, Mohammad Habibi a été agressé et a ensuite déposé une plainte contre les agents de sécurité qui seraient impliqués dans l’agression. Le 21 mai 2023, le défenseur des droits humains a été libéré après avoir payé une caution d’un milliard d’IRR après 47 jours de détention arbitraire et après une audience portant sur l’accusation de « rassemblement et collusion pour agir contre la sécurité nationale » devant la branche 2 du tribunal révolutionnaire de Shahryar. Cette accusation était fondée sur les messages qu’il avait publiés sur les réseaux sociaux pour protester contre l’empoisonnement d’élèves et demander que les responsables rendent des comptes. Mohammad Habibi et son avocat ont par la suite été informés que les poursuites engagées par le défenseur avaient été rejetées, les agents de sécurité ayant déclaré qu’il avait eu l’intention de s’enfuir de la voiture dans laquelle ils l’avaient mis. De plus, le juge chargé de l’affaire a été remplacé sans aucune explication.
Ce n’est pas la première fois que Mohammad Habibi est ciblé à cause de ses activités en faveur des droits humains. En avril 2022, à l’approche du 1er mai et de la journée des enseignants en Iran, Mohammad Habibi a été arrêté avec des dizaines d’enseignants défenseur·ses des droits humains, dont Jafar Ebrahimi et Rasoul Bodagi. Les défenseur⸱ses des droits humains ont été arrêtés aux premières heures du 30 avril 2022, ont subi des violences physiques, des perquisitions et se sont vu confisquer leurs appareils électroniques.
En août 2018, le défenseur a été condamné par la branche 26 du tribunal révolutionnaire de Téhéran à sept ans et demi d’emprisonnement pour « collusion contre la sécurité nationale », « propagande contre l’État » et « trouble de l’ordre public » en raison de sa participation pacifique à des activités syndicales. En novembre 2020, le défenseur des droits humains a été libéré de la prison centrale du Grand Téhéran après avoir purgé 30 mois de sa peine, celle-ci ayant été réduite sur la base d’une nouvelle directive émise par le chef du pouvoir judiciaire iranien.
Front Line Defenders est vivement préoccupée par les nouvelles accusations portées contre le défenseur des droits humains Mohmmad Habibi et par les agressions physiques qu’il a subies.
Front Line Defenders exhorte les autorités iraniennes à :
Abandonner immédiatement et sans condition toutes les charges retenues contre Mohammad Habibi ;
Mener des enquêtes impartiales sur les allégations d’agressions physiques à l’encontre du défenseur des droits humains Mohammad Habibi, en vue de publier les résultats et de demander des comptes aux responsables ;
Cesser de prendre pour cible les défenseur⸱ses des droits humains en Iran et garantir qu’en toutes circonstances ils puissent mener leurs activités légitimes en faveur des droits humains sans crainte de représailles et sans aucune restriction, y compris le harcèlement judiciaire.