Halim Feddal placé en détention préventive
Le 3 mars 2020, le tribunal pénal de Chlef a condamné le défenseur des droits humains Halim Feddal à six mois de prison pour "avoir menacé l'unité du pays", "incitation à un rassemblement illégal" et "publication de documents qui affectent l'intérêt national".
Le 26 février 2020, lors d'une audience devant la cour d'assise de Chlef, le parquet a requis 18 mois d'emprisonnement et une amende de 20 000 dinars algériens (environ 150 euros) contre le défenseur des droits humains Halim Feddal.
Le 2 janvier 2020, le défenseur des droits humains Halim Feddal a été libéré sous condition, ainsi que plusieurs prisonniers politiques.
Le 20 novembre 2019, le procureur de Chlef a ordonné la mise en détention préventive du défenseur des droits humains Halim Feddal, après son arrestation arbitraire le 17 novembre 2019. Il participait à une manifestation pacifique exigeant la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques algériens.
Halim Feddal est fondateur et secrétaire général de l'Association nationale algérienne contre la corruption (ANLC), qui œuvre pour dénoncer et combattre la corruption en Algérie. Il est également membre du mouvement Hirak, un mouvement populaire de défense des droits humains qui appelle à la promotion des droits civils et politiques en Algérie. Le défenseur des droits humains participe fréquemment à des manifestations pacifiques dans la ville de Chlef.
Le 3 mars 2020, le tribunal pénal de Chlef a condamné le défenseur des droits humains Halim Feddal à six mois de prison pour "avoir menacé l'unité du pays", "incitation à un rassemblement illégal" et "publication de documents qui affectent l'intérêt national".
Le 2 janvier 2020, il a été placé en liberté conditionnelle après avoir passé 48 jours en détention. Les mauvaises conditions de détention lui ont causé plusieurs problèmes de santé.
Le 26 février 2020, lors d'une audience devant la cour d'assise de Chlef, le parquet a requis 18 mois d'emprisonnement et une amende de 20 000 dinars algériens (environ 150 euros) contre le défenseur des droits humains Halim Feddal. La cour a reporté son verdict au 3 mars 2020. Le défenseur a été placé en liberté conditionnelle le 2 janvier 2020.
Le 2 janvier 2020, le défenseur des droits humains Halim Feddal a été libéré sous condition, ainsi que plusieurs prisonniers politiques. Il est toujours accusé de "menace à l'encontre de l'unité du pays" et "d'incitation à un rassemblement illégal". Son audience a été fixée au 26 février 2020.
Le 20 novembre 2019, le procureur de Chlef a ordonné la mise en détention préventive du défenseur des droits humains Halim Feddal, après son arrestation arbitraire le 17 novembre 2019. Il participait à une manifestation pacifique exigeant la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques algériens.
Halim Feddal est fondateur et secrétaire général de l'Association nationale algérienne contre la corruption (ANLC), qui œuvre pour dénoncer et combattre la corruption en Algérie. Il est également membre du mouvement Hirak, un mouvement populaire de défense des droits humains qui appelle à la promotion des droits civils et politiques en Algérie. Le défenseur des droits humains participe fréquemment à des manifestations pacifiques dans la ville de Chlef.
Le 17 novembre 2019, Halim Feddal a été arrêté par des agents en civil des forces de sécurité lors d'une manifestation pacifique à laquelle il participait devant le tribunal de Chlef. Les manifestants protestaient contre la détention à caractère politique de plusieurs membres du mouvement Hirak. Halim Feddal a été conduit dans un poste de police local où il a été interrogé pendant trois jours sans pouvoir contacter son avocat ni sa famille. Le 20 novembre 2019, le parquet l'a accusé de "menace à l'unité du pays" et d'"incitation à participer à un rassemblement illégal". Le parquet a ordonné la détention provisoire de Halim Feddal sans fixer de date pour l'audience.
Les défenseurs des droits humains en Algérie sont continuellement harcelés et détenus arbitrairement par les autorités. Halim Feddal a souvent été convoqué au poste de police et interrogé à propos de son travail dans le domaine des droits humains. Front Line Defenders est profondément préoccupée par la détention et le harcèlement de Halim Feddal et estime que la répression générale à l'encontre des défenseur-ses des droits humains en Algérie est de plus en plus préoccupante. Front Line Defenders pense que Halim Feddal est détenu uniquement à cause de son travail légitime et pacifique en faveur des droits humains.